Sonne la cloche à sizèr, astèr
Cette heure où s’échouent
Les dernières vagues, froides
Du bordmèr, tassé d’écumes
Le chant de lagrèg s’allume
Derrière les fenêtres encore closes
Batan protectrices des silhouettes
Nues, de la nuit qui s’achève
J’imprime, ces lïng de pics
Peintes du bleu-mascarin de l’Inde
Brodées aux lueurs anrozé du ciel Bardzour cristallin du voyage
Ainsi s’énonce le jour !
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