Et toutes ces nuits, blanches une-à-une Et toutes ces heures, noires éthériques Au sein de l'intime, rentrez chez-soi Rides saillantes, aux assauts de l'Horla Ultime refuge, aux aubes Christ Roi
Et sous nos mains aimantes, à présent S'apprêter aux souffles du Moi Ombre qui s'étire, voile ondine du temps Et chantent les rimes, aux mille Colombes Darwich-Poèmes, aux verbes Palestines
Et toutes ces heures, novembres funériques Et toutes ces nuits, solitudes une-à-une Ces hymnes, aux silences chimériques Obstinément réécrivent nos pleurs, et nos sorts Ici comme aux Cieux, "L'amour est fort comme la mort"

(À mon père, tout là-haut)
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