Petits pas feutrés des ombres du dernier quart de lune
Étrange manège aux noires couleurs qui s’embrume
Vibrant à la ronde des éclats mortifères, joutes insidieuses
Portées à la pointe du lansor, corne à la houle vacarmeuse
Et ces « akoz » de nos mémoires insulines ?
Grottes essoufflées des mises, paroli du désordre
Et ces folies de jutes peintes aux brises sanguines ?
Elles vont où, toutes ces lignes aux verbes abrégés
Ces âmes silencieuses, véli de vies aux revers déployés
Faites-en ripostes, guerriers aux rouleurs de transes Que raisonnent les pleurs et nos rires endeuillés de l’absence.
À toi mon ami - Régis du bout du Monde (2021-11-27)
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