Chant de Weg
J’ai poussé la porte, close Au levant, sous les vents sacrés d’Éliöz D’où tombaient les astres Je vis Dieu, accroupi au tapis de sable Seul, vieillard sans desseins, sans tables Cherchant à défaire l’anagramme du monde
Les ombres, sombres, des frondes
Étaient levées, prêtes au reset, envahies du désatre
…
Sous les vallées secrètes d’Élahée
Des Hommes mourraient.
(2020-02-02-Chant de Weg-l’Éveillé)
