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Chant de Weg

J’ai poussé la porte, close Au levant, sous les vents sacrés d’Éliöz D’où tombaient les astres Je vis Dieu, accroupi au tapis de sable Seul, vieillard sans desseins, sans tables Cherchant à défaire l’anagramme du monde

Les ombres, sombres, des frondes

Étaient levées, prêtes au reset, envahies du désatre

Sous les vallées secrètes d’Élahée

Des Hommes mourraient.


(2020-02-02-Chant de Weg-l’Éveillé)




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