Je ne te demande pas d’aimer ma Langue Îlienne
C’est pour cela que je t’écris dans la tienne, francilienne
Je ne te demande pas d’être là, où je me promène
Je sais bien que tu es attaché à tes chaînes, à tes frênes
Les libertés ont chacune leurs étrennes, qu’à cela ne tienne
La mienne est de me libérer d’Étienne, et des tiennes
Te vouvoyer me faisant tant de peine, à l’oreille Vous tutoyer me semblait, à la scène, convenir à merveille.
De mon charabia,
Bien à vous Madame.
Image : LP
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