Face aux âmes
Berceuses
Aux langues vétilleuses
Je m’enfuis..
Aucune intraveineuse en mon ceint
Point de fumées illuminées
Prétextant mon ignorance
Juste ce doute
Entre les lames de l’étau
De l’hiver et du chaud
Face aux dunes
Berceuses
Aux rampes vertigineuses
Je m’enfuis..
Aucune île pour me vaincre
Pas de montagne pour me convaincre
Ivre
De ces poésies qui me noient
Entre les larmes de l’été
Et de l’éther qui étreint
Face aux laves
Berceuses
Aux épiphyses venimeuses
Je m’enfuis..
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