À la nuit qui s’éteint
Aux ombres des plaines qui s’ouvrent
Naissent les poèmes du monde
Phalanges, aux hanches haletantes
Fournaises, aux aubes impatientes
Luttes intimes, récits des anges Ondes lansiv aux abîmes des iris
Roses violettes, laves des rives
Verbes en échos qui s’impriment Arrachés aux corps, jaillissant d’Abord
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